Il s'agit de peu de maturité de la part de monsieur Constantin Roibu dans ses attaques directes et indirectes, dressées contre un nombre de journalistes de Vilcea. Celui-ci a accepté qu'un sénateur affirme qu'un certain directeur de magazine doit être banni du département parce qu'il a écrit des choses relatives aux immixtions du directeur dans la vie politique de Vilcea. Il a accepté que le même sénateur, avec la société duquel il a eu et peut-être il a encore des contrats, affirme que le Service roumain de renseignement (SRI) doit punir les journalistes qui écrivent d'une manière négative à propos du directeur de la société Oltchim. Lui-même, dans une série de communiqués, a parlé de trahison nationale et a instigué à terreur à propos de ceux qui ont écrit que, peut-être, le manager avait sa partie de faute vu que la société Oltchim comptabilisait de très grandes pertes.Maintenant, même cette limite a été dépassée. La rumeur circule parmi les journalistes que certains de nous ont été surveillés à Bruxelles, à l'occasion d'une visite, afin d'être documenté le fait qu'une pétition allait ou n'allait pas être déposée au Parlement européen, concernant l'ingérence du directeur général dans les questions de la presse du département, en vue de démoraliser l'éxpression de quelques points de vue.Accidentellement, je me suis compté parmi eux et j'ai considéré, comme je le fait encore, que cette délégation a eu un comportement irréprochable. Et donc, d'où vient et quel pourrait être le motif de ces surveillances sécuristes?Je croix que monsieur Constantin Roibu doit couper court à ces pratiques douteuses ou à leur encouragement, se délimiter, à l'intermède d'un communiqué, de cette sorte d'immixtions dans la vie démocratique du département et dans les questions de la presse. C'est juste dans ce moment qu'il est nécessaire un vrai communiqué dans l'esprit de la Constitution et des libertés fondamentales de l'homme, qui englobe aussi la liberté d'expression. Autrement, cela veut dire que nous avons eu raison de nommer monsieur le directeur général, un peu en badinant, un peu au sérieux, « Le Gaddafi de Vilcea ».Tout en espérant que les choses vont revenir à la normale, nous nous alignons au point de vue exprimé samedi, à Pitesti, par le Premier ministre Emil Boc, qui a garanti que des dispositions justes allaient être adoptées pour que les entreprises de l'état qui enregistrent des pertes et dirigent les fonds vers la clientèle n'affectent plus le budget de l'état.Semnatura: Redactia revistei CRITERII
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